Le SNPDEN a été conduit à fréquemment intervenir sur la question de la sécurité dans les établissements scolaires ces dernières semaines à la suite des incidents qu’ont connus les lycées Adolphe Chérioux à Vitry et Guillaume Apollinaire à Thiais.
A ces occasions, le SNPDEN a défendu une approche rationnelle et non émotive de ces problématiques complexes trop souvent instrumentalisées. Ainsi, comme l’avait abordé le congrès de Biarritz, la question de la sûreté et celle de l’éducation doivent être traitées distinctement si l’on veut progresser plus efficacement.
Si la question de l'éducation passe par plus de présence adulte mais aussi une évolution de la conception du métier d’enseignant, celle de la sûreté nécessite des traitements techniques qui auront, de toute façon, un coût. C’est ce point de vue que le SNPDEN portera lors des Etats généraux de la sécurité.
Le SNPDEN a été conduit à fréquemment intervenir sur la question de la sécurité dans les établissements scolaires ces dernières semaines à la suite des incidents qu’ont connus les lycées Adolphe Chérioux à Vitry et Guillaume Apollinaire à Thiais. A ces occasions, le SNPDEN a défendu une approche rationnelle et non émotive de ces problématiques complexes trop souvent instrumentalisées. Ainsi, comme l’avait abordé le congrès de Biarritz, la question de la sûreté et celle de l’éducation doivent être traitées distinctement si l’on veut progresser plus efficacement. Si la question de l'éducation passe par plus de présence adulte mais aussi une évolution de la conception du métier d’enseignant, celle de la sûreté nécessite des traitements techniques qui auront, de toute façon, un coût. C’est ce point de vue que le SNPDEN portera lors des Etats généraux de la sécurité. |
---|