De nombreux collègues découvrent actuellement, le plus souvent de manière fortuite, des suppressions de "contrats aidés", CAE, puis CUI . Alors que, dans le cadre du plan de relance gouvernemental, les pressions avaient été parfois fortes pour conduire les EPLE à recruter des emplois aidés, ces mêmes établissements apprennent aujourd’hui que des supports vont disparaître en nombre significatif du fait des choix budgétaires contraires, à quelques années d'intervalle.
En effet, c'est la brusque décision du ministère du Budget de réclamer aux autres ministères un participation de 20 % puis de 30 % aux rémunérations des emplois aidés (au lieu de 10 % actuellement) qui est à l'origine de cette situation manifestement non anticipée.
En effet, c'est la brusque décision du ministère du Budget de réclamer aux autres ministères un participation de 20 % puis de 30 % aux rémunérations des emplois aidés (au lieu de 10 % actuellement) qui est à l'origine de cette situation manifestement non anticipée.
Les réponses aux questions posées par les collègues sont invariablement du type « nous allons nous efforcer de trouver des solutions » ou encore « nous vous communiquerons prochainement des informations plus précises » mais, très concrètement, une fois de plus, les personnels de direction sont laissés seuls face aux graves conséquences organisationnelles mais surtout humaines de choix comptables désordonnés et de différends interministériels.
Face à cette situation, le SNPDEN est intervenu, en particulier à l'occasion de l'audience que Luc Chatel a accordée à l'UNSA-Education le 22 septembre. Une bonne nouvelle cependant : les AVS seraient "préservés" (il faut dire qu'on atteignait là un summum en matière d'incohérence
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